FICTION SPÉCULATIVE !

spectacle tout public
à partir de 7 ans

mise en scène   Mathieu Barché
avec   Anaïs Marie Mazan, Arnaud Vrech, Giulia Deline
costumes et masques
  Nathan Samuel
assistante costume  
Marine Pasco
créatrice lumière   Diane Guérin
régie son et texte  
Mathieu Barché


production  
La Chevauchée
coproduction   Studio Théâtre de Vitry, ITEP – Le Coteau (UGECAM Île-de-France)
partenaires   théâtre Dunois, Nouveau Gare au Théâtre

une création au Studio Théâtre de Vitry en 2021

.

Les personnages de cette histoire sont un pommier, un pleurote, une coyote et une zadiste.
C’est une tentative d’histoire interspécifique non anthropocentrée.

Il y a une humaine dans cette histoire, mais pas n’importe laquelle. C’est une humaine que nous soutenons fortement et qui semble être la plus à même de se rendre attentive aux autres vivants non-humains.

Dans l’histoire, ces quatre personnages se retrouvent dans un même territoire pour y constituer un refuge. Ils fuient un monde qui les menace. Chacun d’eux est marqué par son histoire passée dans l’anthropocène.
Le pommier est une espèce férale issu de l’agriculture intensive.
La coyote d’Amérique à traversé l’atlantique car elle n’était plus considérée comme un animal totem là-bas, et donc chassée du territoire urbain.
La zadiste est en lutte contre un système capitaliste qui l’oppresse.

Ils se rencontrent et passent une soirée ensemble. Cette alliance interespèce improbable est l’occasion de se raconter des histoires nouvelles, d’écouter le chant du merle, d’accoucher de bébés coyotes, de créer des liens de parenté, de se régénérer et de mourir. On découvre comment ces personnages prennent soin les uns des autres, comment ils peuvent cohabiter, se répondre, s’entraider pour exister. C’est une expérience de récit sans guerre, sans homme, sans héros. Où l’on préfère cueillir, raconter, soigner, écouter, lier, pour dire une petite histoire à l’abri des grandes épopées.

.

– PORTFOLIO –
COSTUMES ET PHOTOS – NATHAN SAMUEL

Les costumes et photos sont réalisées par le plasticien Nathan Samuel.
Dans sa liberté, une des consignes était de recouvrir complètement le corps des comédien.nes.